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Est-ce que la quantité de stéroïdes nécessaire au maintien de la masse musculaire s’accroît au fil du temps?

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Article source: MESO-Rx France

Q: Je parlais avec un de mes amis au gym aujourd’hui. C’est un bodybuilder très expérimenté et il est également entraineur. Il m’a dit que plus on utilise de stéroïdes, plus on a besoin d’augmenter les doses au fil du temps. Devez-vous «continuellement» augmenter le dosage pour garder ou gagner plus de muscle?

R: Personnellement, je ne suis pas d’accord avec le principe que la dose nécessaire est en fonction de l’utilisation passée, même si parfois ça peut paraitre le cas.

Au contraire, à chaque individu et à chaque statut hormonal sa quantité optimale d’entrainement et de nutrition. On peut aussi dire que le corps a un seuil qu’il peut atteindre en un laps de temps donné, comme par exemple 6 mois d’entrainement intensif.

Si vous êtes actuellement loin d’atteindre ce point, alors vos gains peuvent être rapides. Plus vous en êtes loin, plus vos gains seront rapides, et moins extrême sera l’environnement hormonal utilisé pour l’atteindre.

En d’autres termes : Si vous stagnez à X kilos à un état maigre, malgré un entrainement et une nutrition excellentes, et que votre utilisation hebdomadaire a été de 1 gramme de stéroïdes sans peptides, alors si vous voulez gagner plus de masse musculaire rapidement vous devrez augmenter la dose. Et cela pas vraiment en raison de l’utilisation passée, mais parce que X kilos est le seuil où votre corps atteint un point homéostatique avec cette quantité de produits et un bon entrainement.

Mais si X kilos est le niveau que vous atteignez avec cette utilisation, ou si vous aviez atteint plus de masse musculaire par le passé mais que vous en avez perdu depuis – disons que vous avez maintenant environs 13kg de moins en condition maigre- alors vous pourriez avoir des gains rapides, même avec 750mg / semaine. Peu importe que vous ayez utilisé une plus grande quantité par le passé ou non.

Est-ce que cela a un lien avec votre article écrit en 1998 sur l’augmentation de la régulation des récepteurs d’androgènes?

Pas vraiment. Il s’agit plutôt du fait que le corps ne garde pour ainsi dire aucune « trace » de l’utilisation préalable de ce produit, et, plus important, que le taux de croissance finit par être en fonction de ce qui reste à accomplir pour arriver au “niveau fixe” d’utilisation du produit.

Par « niveau fixe » je veux dire un volume musculaire où le corps a tendance à s’installer dans une homéostasie et où vous ne perdez ni ne gagnez plus de muscle.

Quand vous êtes loin de ce point, les gains sont rapides … quand vous en êtes tout près, les gains ne sont pas rapide ou du moins pas pour longtemps. (Il pourrait y avoir une brève augmentation soudaine.)

Pour beaucoup de personnes cela est très important après avoir gagné beaucoup de masse musculaire sur une base naturellement très solide – ou après avoir gagné énormément de muscles suite à l’utilisation directe de stéroïdes à de petites doses comme par exemple 500 mg/semaine. Dans ce cas, avoir atteint ou presque atteint la limite apparente que cette quantité de produit peut fournir signifie que l’utilisation de plus de stéroïdes peut aboutir à utiliser considérablement plus de produits.

Cela est également valable mais moins pour 750 mg/semaine; ainsi que pour 1000 mg / semaine, mais encore moins. Si vraiment vous vous êtes bien entrainé et que vous aviez une bonne nutrition à 1000 mg/semaine et que vous avez atteint un plateau, doubler la quantité peut faire une différence mais elle ne sera pas si grande.

Là où l’article est pertinent, c’est qu’il a longtemps été cru dans le culturisme que les récepteurs sont endommagés ou définitivement diminués par l’utilisation de fortes doses, et en fait ce n’est pas le cas.

Donc, disons qu’un débutant commence par un cycle de 2000 mg/semaine de stéroïdes, et qu’il n’arrive à rien de ce qu’il pourrait atteindre, même avec 750 mg / semaine.

Certains pourraient s’inquiéter (mais l’article explique qu’il n’y a pas de quoi), que son utilisation de 2000 mg/semaine lui a causé trop de problèmes et que maintenant une plus petite dose n’aurait pas d’effet sur lui. Ce n’est pas vrai: il peut encore atteindre avec 750 mg/semaine par exemple le même niveau qu’il aurait pu atteindre sous un fort dosage.

Devez-vous «continuellement» augmenter le dosage pour garder ou gagner plus de muscle?

Devez-vous «continuellement» augmenter le dosage pour garder ou gagner plus de muscle?

Article original publié le 25 Mars 2012

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Quels sont les meilleurs stéroïdes pour les femmes?

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Article source: MESO-Rx France

Q: Quels sont les meilleures stéroïdes anabolisants pour les femmes? Est-ce que l’Anavar et le Primobolan sont les meilleurs produits pour minimiser les effets secondaires masculinisants?

R : Cela peut paraître surprenant, mais l’Anadrol (oxymétholone) est un bon choix pour les femmes qui souhaitent être prudentes, mais avoir de bons résultats.

Je ne me spécialise pas dans les cycles pour femmes et j’ai choisi de ne pas m’y engager – quand je touche à cela c’est en général lorsque la femme d’une personne avec qui je travaille souhaite utiliser certains stéroïdes anabolisants également – mais selon mon expérience 25 mg/jour en doses fractionnées fonctionnent très bien.

Médicalement parlant, vous seriez étonné des doses que des femmes et même des jeunes filles ont pris en ayant de très faibles taux de virilisation. De toute façon, contrairement à ce que l’on pourrait croire, l’Anadrol n’est pas un choix des plus risqués pour les femmes.

Mis à part cela, 15 mg/jour d’Anavar (oxandrolone) seront virilisants dans un certain nombre de cas. En ce qui concerne le risque, environ 5 mg/jour d’oxandrolone sont probablement comparables à 25 mg/jour d’Anadrol (en doses fractionnées).

Le Primobolan, jusqu’à 50 mg/semaine en injections divisées, est un choix commun et raisonnable. Il comporte certains risques, mais ils ne sont pas très élevés.

J’ai entendu parler pour la première fois de « l’Anadrol pour les femmes » par Dan Duchaine. Au début de la carrière de Denise Rutkowski, il lui a prescrit 25 mg d’Anadrol par jour. Je ne pense pas que je divulgue un secret ici, car il l’a déjà publié. Cela a évidemment très bien fonctionné avec elle, et elle n’a pas du tout été virilisée à cette époque. Donc, le fait qu’il m’en parle m’a encouragé à m’y intéresser de plus près.

Les doses médicales sont assez étonnantes. La raison pour laquelle la tablette est de 50 mg c’est parce que c’est la norme de la dose minimale médicale, y compris pour les femmes et les enfants! Ce produit était largement utilisé pour l’amélioration du taux de globules rouges.

Je suis sûr que je pourrais le retrouver, et je l’ai déjà publié en ligne, mais il existe au moins un article qui parle de doses utilisées sur un assez grand nombre de femmes, et qui atteste d’une faible incidence des effets secondaires. Ces doses étaient souvent de plus de 50 mg/jour. Parfois beaucoup plus.

De plus, je n’ai personnellement jamais vu l’utilisation de 25 mg/jour tourner mal.

Je ne dis pas que cela ne peut pas arriver: il arrive que des femmes développent une voix grave et des poils sur le visage naturellement avec le temps, car il doit y avoir certaines femmes qui se trouvent à la limite. Mais de manière générale, il s’agit d’une dose prudente, mais très efficace.

La quantité d’Anadrol que les femmes peuvent tolérer est nettement plus élevée que pour n’importe quel autre stéroïde anabolisant. Cependant, il est également vrai que l’effet par mg est moindre, mais pas assez pour compenser la différence de sécurité.. J’opterais pour 25 mg/jour d’Anadrol (en doses fractionnées) contre 50 mg/semaine de Primo pour l’efficacité sans hésitation, et c’est au moins aussi prudent.

Un autre aspect remarquable de l’Anadrol est que contrairement aux autres stéroïdes anabolisants il ne perturbe presque pas le déroulement du cycle menstruel. Même des doses telles que 2,5 mg 2x/jour d’oxandrolone posent des problèmes dans ce domaine. L’Anadrol n’a cependant montré médicalement qu’un effet modéré sur le cycle menstruel à 50 mg/jour, et au cours de ma petite utilisation de ce produit auprès des femmes (puisque je ne travaille pas d’habitude avec des femmes sur des cycles de stéroïdes), 25 mg/jour ont seulement allégé et légèrement raccourci les cycles. C’est remarquablement moins perturbateur.

En règle générale, prenez une dose qui serait tout à fait modérée pour un homme, près du minimum recommandé, et qui pourrait encore donner des résultats raisonnables pour un débutant, puis divisez la par 10 pour avoir quelque chose de modérée mais d’efficace pour une femme.

(Je ne veux pas dire efficace pour les femmes culturistes professionnelles).

Pour chaque stéroïde, les doses que je suggère sont modérées mais efficaces et peuvent légèrement différer de la dose approximative mentionnée ci-dessus, car les avis diffèrent sur la quantité qui serait modérée pour un homme. Mais si vous n’avez rien d’autre pour travailler avec, ou si vous envisagez un dosage et que vous voulez faire une « vérification » rapide, ce qui a été cité plus haut peut vous aider. Disons par exemple que quelqu’un propose une quantité de 100 mg/semaine. Multipliez la par 10, et la comparaison sera donc à 1000 mg/semaine pour un homme. Ce n’est pas une quantité de cycle faible. Ainsi, nous pouvons voir en un coup d’œil que cette dose est très élevée sans avoir à se rappeler des valeurs spécifiques de chaque stéroïde.

Je voudrais aussi retirer le Winstrol de l’équation, car il est possible (je n’en suis pas certain), qu’il ait un plus mauvais rapport avantages/risque pour les femmes que la plupart des autres stéroïdes anabolisants.

Aussi, en règle générale, j’éviterais l’accumulation et la combinaison de stéroïdes pour les femmes.

Pour en revenir sur votre question concernant les quantités, et de manière générale aux stéroïdes anabolisants autres que l’Anadrol pour les femmes:

Je ne peux pas dire que certaines méthodes qui accumulent et combinent les stéroïdes ne pourraient pas donner un meilleur rapport entre le gain de masse musculaire et les effets secondaires, mais nous ne savons pas exactement ce qu’il en est. Les utilisations sont mieux comprises lorsqu’il s’agit d’un seul produit, et l’utilisation d’un seul produit fonctionne très bien. Le Primo ou l’Anadrol sont mes deux premiers choix pour le culturisme et le fitness; l’oxandrolone est également acceptable, mais il doit être à des doses plus petites que pour les deux autres. Pour l’amélioration de la qualité de la vie une très faible dose de testostérone fonctionne très bien.

Anadrol (oxymétholone) est un bon choix pour les femmes

Anadrol (oxymétholone) est un bon choix pour les femmes

Originally published at: Quels sont les meilleurs stéroïdes pour les femmes?

La testostérone devrait-elle être toujours utilisée comme base pour une cure de stéroídes?

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Article source: MESO-Rx France

Q: “Beaucoup disent que la testostérone doit être utilisée à chaque cycle. Mais d’autres ont de bons résultats sans. La question est donc : faut-il vraiment l’utiliser pour avoir de bons résultats? Pourquoi ne fait-on pas comme avec la plupart des médicaments, par exemple les AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens), où tous ont le même effet et si on en prend plusieurs, on obtient le même résultat qu’en prenant plus du même. Ou bien est-ce que le même principe s’applique et on a seulement besoin d’utiliser une quantité suffisante de n’importe lequel d’entre eux?”

Bill Roberts: Il est possible d’avoir une cure efficace complet avec ou sans testostérone.

Chacun a ses raisons pour penser qu’il faut utiliser la testostérone. Mais je pense que la raison principale de cette croyance est que la testostérone donne un éventail complet d’effets alors que ce n’est pas le cas avec les produits de synthèse, qu’ils soient utilisés individuellement ou combinés de manière inefficace.

Par exemple en utilisant seulement la testostérone, 500mg/semaine procurera une cure modéré mais raisonnablement efficace ; 750mg/semaine procurera un cycle plus fort mais encore modéré ; 1000mg/semaine sera encore plus fort mais toujours dans la limite du raisonnable. Il y a un accroissement net à chaque niveau. Avec de plus grandes quantités comme 2g/semaine la performance atteint pratiquement le maximum que l’on puisse obtenir avec seulement des stéroides anabilisants, quelque soit leur quantité.

Avec un produit de synthèse comme Dianabol, Anadrol, oxandrolone, Primobolan, trenbolone, etc, peu importe la quantité prise individuellement, l’effet maximum ne sera pas atteint. Il y a une nette augmentation de la performance avec l’augmentation du dosage mais jusqu’à une quantité spécifique à chaque médicament, plus au dessus. A ce niveau là ces produits travaillent au maximum de leur efficacité et même s’ils sont utilisés seuls, ils ne couvrent pas toutes les bases.

Les mélanges inefficaces fonctionnent de la même façon ou presque, que l’utilisation d’un produit unique. Par exemple, l’effet maximum est atteint en utilisant le trenbolone tout seul ou le trenbolone avec, soit le Primobolon ou le Oxandrolone. De même ajouter Anadrol au Dianabol ne rajoute rien ou presque à ce que le Dianabol peut faire seul. Mal choisir son mélange a le même effet que mélanger eux anti-inflammatoires. Ça n’a aucun intérêt. On n’augmente pas de meilleur résultat par rapport à ce qui est obtenu en utilisant seulement l’un d’entre eux.

Par contre, lorsque les produits de synthèse sont mélangés de façon efficace, par exemple 100mg/jour de trenbolone acetate seulement ne fait rien d’exitant en terme de gain de masse, ni même 100mg/jour de Dianabol tout seul. Je placerais chacun de ces choix bien en dessous du fait de prendre 100mg/jour (soit 700mg/semaine) de testostérone. Ni trenbolone, ni Dianabol seuls ne couvrent toutes les bases.

Mais la même quantité de produit – 100mg/jour – est une toute autre histoire quand c’est la combinaison de 50mg/jour de trenbolone acectate et 50mg/jour de Dianabol. Tout à coup vous obtenez un bien meilleur résultat que 700mg/semaine de testostérone.

Donc vous n’avez pas besoin d’utiliser la testotérone pour avoir une cure de stéroide tout à fait efficace mais c’est un moyen simple de couvrir ses bases. Les autres moyens sont de bien choisir la combinaison de produits de synthèse, ou la combinaison de produits de synthèse avec la testostérone.

La testostérone devrait-elle être toujours utilisée comme base pour une cure de stéroíde ?

La testostérone devrait-elle être toujours utilisée comme base pour une cure de stéroíde ?

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Quels types de cures de stéroïde ont utilisé les culturistes au temps d’Arnold Schwarzenegger?

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Article source: MESO-Rx France

Question: “J’ai la quarantaine et fais des haltères. Je pense sérieusement à commencer à faire des cures de stéroide. J’ai été constant dans mon entrainement que je pense de bonne qualité et ce pendant 10 ans et avant cela, de nombreuses années à m’entrainer par à-coups. Je ne pense pas que continuer la même chose m’améliorera. Je suis beaucoup plus interessé par ce qu’on faisait dans les années 70 et 80. Il semble qu’on comptait surtout sur les produits synthétiques et que l’on n’utilisait pas de grosses quantité de testostérone. Par contre les hommes de ma salle de gym qui ont des poils ou de l’acné sur le dos, ne parlent que de testostérone. Mais je n’ai pas envie d’avoir les mêmes soucis d’apparence qu’eux. Comment dois-je choisir les stéroides pour garder mon physique classique?”

Bill Roberts: Vous avez raison bien sûr. Autrefois la testostérone n’était pas utilisée en grosse quantité. Un usage courant était seulement de 1ml par semaine ou encore 200 ou 250 mg/ semaine.

Leur raisonnement ne se basait pas sur des réactions chimiques mais sur des résultats observés. La raison était qu’un enzyme du corps (l’aromatase) transforme une partie de la testostérone en estradiol qui est un estrogène. Un niveau anormalement élevé d’estrogène peut provoquer de la gynécomastia, de l’acné et de la retention d’eau. Ils souhaitaient éviter tout cela.

Aux doses citées plus haut, l’estradiol reste dans une fourchette normale et il y a un effet secondaire seulement pour les individus particulièrement sensibles.

Sans un produit anti-aromatase, alors que le dosage de la testostérone augmente, les taux d’estradiol tend à augmenter au delà du normal. A part être dérangé quelques fois par de la pilosité faciale ou de l’acné sur le dos, beaucoup n’avaient pas de soucis d’estrogène, à des doses double ou même triple. Sur les niveaux d’estradiol par contre, de plus fortes doses causent ordinairement une augmentation anormale.

Comme il n’y avait pas de produit anti-aromatase autrefois, l’aromatization était une excellente raison pour limiter l’utilisation de la testostérone.

Aujourd’hui le produits anti-aromatases comme le letrozole sont faciles à trouver. Avec l’utilisation d’un anti-aromatase, il n’y a pas de raison de limiter la quantité de testostérone.

Je ne trouve pas de difference dans l’apparence physique suite à l’utilisation de stéroides anabolisants ou au choix d’une certaine quantité, exception faite de l’effet sur l’estrogène. Les questions que l’on se pose sont l’efficacité des anabolisants, leurs effets secondaires, leurs prix, leur disponibilité, les choix personnels et la génétique. Nous ne parlons pas de la génétique des stéroides anabolisants qui fonctionnent pour un individu, mais la génétique du type d’apparence physique que l’on obtient à force d’entrainement, de nutrition et d’utilisation de médicaments.

Et aussi à un certain degré, certes limité, le nombre de miligrammes nécessaires est génétique.

Le nombre relativement limité de miligrammes utilisé par beaucoup de culturistes était dû je crois à leur génétique. Un petit pourcentage d’utilisateurs se débrouillent très bien avec de toutes petites doses. Leur succès ne s’applique pas à ce que la plupart doivent utiliser. Je ne baserais pas votre dosage sur des résultats qui ont été atteints il y a des années par une élite sur le plan génétique. Je n’ai vu que très rarement quelqu’un obtenir de très bons résultats avec des doses minimales.

Comme vous recherchez des résultats substantiels mais pas forcément maximaux et que vous semblez plus conscient de votre santé, que par des résultats extrêmes, il n’y pas besoin d’être complexe. J’utiliserais un minimum de 500mg/semaine au total et un maximum de 750mg/semaine. Il est possible d’utiliser plus que ça, mais il semble que vous n’en n’ayez pas besoin. Cela peut se faire avec la testostérone comme unique stéroide anabolisant, ajouté de préférence à un anti-aromatase comme le letrozole. Il faudrait mesurer le niveau d’estradiol par une prise de sang après deux semaines et la dose d’anti-aromatase pourra être ajustée si besoin.

Un autre choix serait d’utiliser la testostérone avec seulement 200-250mg/semaine et d’équilibrer avec Masteron, Primobolan, ou trenbolone.

Encore un autre choix serait d’utiliser du Masteron ou Primobolan à 500-700mg/semaine ou bien le trenbolone acetate à 50-75mg/jour et d’ajouter du HCG à 700-1500IU par semaine. E HCG est une autre façon d’obtenir de la testostérone, en stimulant les testicules pour la produire.

En fait, il y a plus de possibilités que ça, mais celles là vous conviendront.

Quels Types de Cycles de Stéroïde Ont Utilisé les Culturistes au Temps d'Arnold Schwarzenegger?

Quels Types de Cycles de Stéroïde Ont Utilisé les Culturistes au Temps d’Arnold Schwarzenegger?

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Est-ce que les prohormones légales sont des additions efficaces aux cures de stéroides?

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Article source: MESO-Rx France

Q: “Y a-t-il un produit prohormone qui soit une bon ajout à une cure de stéroides?

Bill Roberts: Il n’y a pas de véritable raison d’en ajouter aucun pour créer une bonne cure qui utilise les stéroides anabolisants pharmaceutiques standards. Je veux dire par là les mélanges concu et mis sur le marché par l’industrie pharmaceutique. Aucun n’a une qualité qui manquerait aux stéroides pharmaceutiques. La plupart ont même de pires effets secondaires.

Il y a une idée fausse répandue, pas vraiment chez les utilisateurs de stéroides expérimentés mais chez ceux qui commencent à penser à utiliser un amplificateur de performance, que les produits prohormones sont moins nocifs que les vrais stéroides.

En fait tous les produits efficaces sont 17 alkyles et toxiques pour le foie. Un utilisateur de stéroides expérimenté choisira souvent d’inclure un steroide alkyle oral dans une cure mais les mélanges alkyles ne sont jamais utilisés comme 100% d’une cure. D’habitude la base d’une cure est non alkyle et n’est pas toxique pour le foie. Des exemples pour la base sont la testostérone, trenbolone, nandrolone (Deca), methenolone (Primobolan), drostanolone (Masteron), et/ou boldenone (Equipoise).

Avec les cures de prohormone, pourtant les mélanges sont presque toujours alkyles. Cela donne le pire équilibre entre les effets anabolisants et les effets sur le foie. Cela se voit aussi souvent dans les résultats sanguins des cures qui n’ont pas donné beaucoup de masse musculaire.

Un des examples les plus efficaces des prohormones serait Superdrol. Pourtant un nombre de stéroides anabolisants pharmaceutiques aura de meilleurs résultats par rapport au Superdrol qui affectera plus le foie. Cela se mesure avec les enzymes du foie, qui peut avoir des effets sur l’humeur, sur la gynécomastie, et les pertes d’après la cure sont plus importantes.

Un des exemples les plus sûrs serait l’epistane. Bien qu’il soit aussi alkyle, il ne semble pas plus toxique pour le foie que par exemple le Dianabol et ce mélange ne créé ni problème d’humeur ni de gynecomastie. Mais il n’est pas très efficace. Il n’a pas beaucoup d’avantage par rapport à une très faible dose de Masteron par exemple, qui lui serait au moins aussi efficace voire plus et n’est pas du tout toxique pour le foie.

Comme les stéroides anabolisants pharmaceutiques sont des mélanges de synthèse, les prohormones sont aussi des mélanges de synthèse qui n’existent pas dans la nature. Mais contrairement aux produits pharmaceutiques, ceux-là n’ont pas été sélectionnés mais ont maintenant trouvé une nouvelle vie à force d’essayer de trouver lexception a la regle. Ils ne sont pas un choix plus naturel, meilleur ou plus sûr.

Est-ce que les Prohormones légales sont des additions efficaces aux cures de stéroides?

Est-ce que les Prohormones légales sont des additions efficaces aux cures de stéroides?

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Quel Est le Cycle Favori de Stéroide de Bill Roberts?

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Article source: MESO-Rx France

Question: “J’ai commencé à lire vos articles en 1998 and ai eu la chance de converser avec vous sur des forums. Chaque personne et cas étant differents, vos recommendations étaient variées. Mais chaque fois que quelqu’un vous demandait votre produit préféré pour votre usage personnel, vous citiez toujours trenbolone et Dianabol. Est-ce toujours le cas, ou bien faites-vous les choses differemment aujourd’hui?”

Bill Robert : Si j’avais comme but une amélioration immédiate de mon physique en utilisant le produit avec lequel je me sens le mieux, je choisirais encore le même. Mais ce n’est pas parce d’autres produits ne peuvent pas procurer le même effet. En fait le meilleur résultat peut être obtenu par differents moyens.

Bien que j’ai toujours gardé à l’esprit ma santé et n’ai jamais fait de choses ridicules, maintenant à 51 ans, mon point de vue est un peu different de lorsque j’en avais 30. Je pense que mon poids naturel sans entrainement aux haltères devrait être de 147 pounds. Dans mon cas ce serait trop pour mon corps de maintenir autant de masse comme je l’ai fait par le passé. Je pense maintenant être peut-être un pound plus léger chaque année. Par exemple à 70 ans, je ne devrais pas avoir besoin de peser plus de 170 pounds, en fait 160 pounds et musclé serait bien. Aussi malgré que mon poids soit aujourd’hui de 190 pounds, je ne peux plus soulever des haltères comme avant, encore moins bien sûr quand mon poids sera de 225 pounds. Je suis finalement plus athlétique que léger. Par exemple pour moi, il est plus important d’être capable de ramer dans des conditions difficiles lorsque je surfe que d’obtenir les meilleurs résultats aux haltères.

Donc je fais les choses plus simplement maintenant. Mes produits préférés sont Masteron et HCG.

Pourtant qund je veux plus de résultats, comme c’est le cas de temps en temps, il faudra que j’ajoute quelque chose, normalement de la testostérone ou du Dianabol.

J’ajoute aussi de temps en temps du trenbolone, simplement parce que j’en ai envie.

Quel est le cycle favori de stéroide de Bill Roberts?

Quel est le cycle favori de stéroide de Bill Roberts?

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Quels Tests de Laboratoires Sont Bons pour Quelqu’un Qui Utilise des Stéroides?

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Article source: MESO-Rx France

Question: “Comment obtient-on des analyses de sang? Peut-on simplement demander à son médecin? Quels sont les tests que l’on devrait demander?”

Bill Robert: Oui, certains demandent à leur docteur et en fonction de leur assurance de santé, cela peut se passer simplement.

Mais on n’est pas obligé de demander à son docteur. Il y a au moins deux sociétés qui peuvent vous donner une ordonnance sur Internet, que l’on peut ensuite emmener à un laboratoire local comme Labcorp. Une de ces société est LEF.org mais vous pouvez en chercher d’autres par vous-même, car le moins cher sera suffisant. De même vous pouvez choisir le laboratoire qui vous convient.

Pendant que vous être hors cycle, c’est une bonne idée d’avoir une base de testostérone gratuite et d’estradiol. Si la testostérone gratuite est de qualité médiocre, il faudra mesurer le LH pour comprendre si le problème est que le LH est bas ou, si le LH est bon que ce sont les testicules qui fonctionnent de façon médiocre.

Pendant un cycle, en utilisant des stéroïdes aromatisants, il est bon de mesurer l’estradiol pour que le dosage de l’anti-aromatase puisse être ajusté et qu’il atteigne son but de 20-30pg/ml. Certains auront des soucis avec leurs lipides sanguins et voudront les surveiller.

ACBC vous permettra de voir si votre consommation d’androgène augmente de façon excessive l’hématocrite. Ce n’est pas un chiffre précis mais 53% est considéré communément comme une limite maximale. Un don de sang peut être une solution quand on approche de la limite (pour éviter de la dépasser), ou qu’on la juste dépassée. Mais quand on a un excès d’hématocrite, il faut réduire les doses. L’AST (une enzyme du foie) doit aussi être surveillée quand on utilise des stéroïdes alkyles oraux.

Je ne croix pas que ce soit nécessaire de faire une prise de sang à chaque fois mais il est bon d’avoir une base et de savoir ce qu’il s’est passé avant lorsqu’on a fait les mêmes types de cycles. Par example, si vous savez à l’avance que lorsque vous avez pris une certaine quantité de testostérone, vous avez eu besoin d’une certaine quantité de letrozone, à la prochaine occasion vous pourrez utiliser la même dose.

Quels Tests de Laboratoires Sont Bons pour Quelqu'un Qui Utilise des Stéroides?

Quels Tests de Laboratoires Sont Bons pour Quelqu’un Qui Utilise des Stéroides?

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Hormone Gonadotrophine Chorionique (HCG) et Traitement après une cure (PCT)

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Question : “Comment l’HCG devrait-elle être utilisée dans une thérapie post-cure?”

Dans l’idéal, l’HCG ne devrait pas être utilisée du tout dans une thérapie post cure (Post Cycle Therapy: PCT). Dans une cure de stéroïdes, l’HCG devrait seulement être utilisée quand une erreur a été commise et qu’il faut la corriger.

Quand elle est utilisée après une cure, son but est de corriger le manque de réactivité des testicules ou le rétrécissement qui s’est developpé pendant cette cure. Plus la cure a duré longtemps, plus il y a de risque qu’il y ait un problème, et plus celui-ci sera sans doute important.

Si un manque de réactivité apparait, alors, même après que la production de LH (Hormone lutéïnisante) soit rétablie, les testicules ne produiront pas de testostérone en quantité suffisante et le rétablissement général est nettement retardé. Cet effet secondaire des stéroïdes peut être vraiment conséquent.

Une prise de 5000 à 10.000 IU (International Units) d’HCG, sur une période de 4 à 8 semaines peut rétablir cette réactivité.

C’est une mauvaise idée que de laisser les testicules s’atrophier et de commencer l’HCG après une cure de stéroïdes. Il vaut mieux ne pas laisser ces problèmes apparaitre du tout. En plus, l’utilisation de l’HCG pendant le traitement post cure peut empêcher le rétablissement de la production de LH. Ce n’est donc pas du tout le bon moment pour l’utiliser.

L’HCG devrait plutôt être utilisée au milieu ou tard dans la cure mais pas après la dernière injection de stéroïdes de cette cure.

La période typique d’utilisation d’HCG durera à peu près 4 semaines. Pendant une cure de 8 à 12 semaines, les 4 semaines (à peu près) de prise d’HCG devront être celles avant la dernière injection de stéroïdes. Dans une cure de 14 semaines, la période de 4 semaines devra avoir lieu au début de la deuxième moitié de la cure. Par exemple, prenez l’HCG au plus tôt pendant les semaines 6 à 9 et au plus tard pendant les semaines 9 à 12.

La quantité à prendre est divisée entre 3 prises minimum par semaine. Par exemple 275 IU, pris 3 fois par semaine fera un total de 5000 IU pris après 4 semaines. Mais on peut prendre une dose par jour ou tous les deux jours ou 4 fois par semaine. En fait il n’y a pratiquement pas de différence au niveau des résultats, quelque soit le rythme que vous choisissez.

La quantité totale prise par semaine n’a pas besoin d’être exacte. Par exemple, vous pouvez prendre 500 IU 3 fois par semaine ou bien prendre 200 IU tous les jours.

Si vous prenez plus de 1250 IU par semaine d’un flacon de 5000 IU, celui-ci ne durera pas 4 semaines. Par exemple, si vous prenez 500 IU 3 fois par semaine, le flacon durera juste un peu plus de 3 semaines. Mais c’est suffisamment proche de 4 semaines et à ce rythme, le flacon vous suffira. Si vous prenez plus que ça, vous n’aurez pas plus de résultat par semaine, mais par contre, vous aurez obtenu moins de résultat lorsque le flacon sera fini.

Quand l’HCG est utilisée selon cette méthode, les effets secondaires de rétrécissement des testicules et de perte de réactivité sont évités. Le rétablissement est total lorsque la production de LH est rétablie. Il n’est donc pas nécessaire d’utiliser l’HCG en PCT (traitement post cure) et le rétablissement est plus rapide.

Dans certains cas, il vaudra mieux prendre de l’HCG pendant toute la durée de la cure de stéroïdes plutôt que pendant seulement 4 semaines. L’un de ces cas est lorsque l’on fait une cure avec des stéroïdes non aromatisables tels que le Masteron, Primobolan, trenbolone, Anadrol ou encore l’oxandrolone. Les niveaux d’Estradiol, qui est principalement produit par la testostérone, baissent trop comme les niveaux de testostérone, pendant ces cures non aromatisables. En maintenant un niveau normal de testostérone, l’HCG, si elle est utilisée pendant toute la cure, permettra de maintenir aussi un niveau suffisant d’estradiol.

Il y a un autre cas où il est recommandé d’utiliser l’HCG pendant toute la durée de prise de stéroïdes. C’est celui où l’utilisateur ne fait pas de cure avec des arrêtes mais utilise les stéroïdes de façon constante sans s’arrêter.

Hormone Gonadotrophine Chorionique (HCG) et Traitement après une cure (Post Cycle Therapy: PCT)

Hormone Gonadotrophine Chorionique (HCG) et Traitement après une cure (Post Cycle Therapy: PCT)

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L’utilisation d’HCG entre les cures de stéroïdes

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Article source: MESO-Rx France

Question : “Comment puis-je le mieux utiliser l’HCG entre les cures de stéroïdes ?”

Ma recommandation générale avec l’HCG, c’est de l’utiliser, seulement pendant les cures, pour éviter l’atrophie testiculaire et maintenir la réactivité des testicules. Après, et dès que la production de LH est revenue avec un produit SERM (Selective Estrogen Receptor Modulator ) ou avec le temps, les testicules sont alors prêts à produire la testostérone.

Pourtant comme votre question le suggère, l’HCG peut aussi être bénéfique entre les cures.

Je conseille d’éviter l’HCG pendant au moins les deux premières semaines de la période de récupération. C’est à dire le moment où les niveaux d’androgène, du fait des stéroïdes pris pendant la cure, ont suffisament baissés pour permettre à la production de LH de redémarrer. L’utilisation d’HCG pendant cette période, peut interférer avec la reprise de LH. Je ne dis pas qu’il soit impossible de récupérer sa production de LH tout en utilisant l’HCG, mais l’utilisation d’HCG en altérera le processus.

L’utilisation d’HCG pendant la période de récupération rend impossible de “sentir” par soi-même, si le rétablissement de LH a bien lieu ou pas. LH peut être à un niveau presque nul, tandis le testostérone est normale, voire élevée.

L’idéal est de faire un test sanguin entre 2 et 4 semaines, après le début de la période de récupération, pour s’assurer que la production de LH a bien reprise. C’est un choix. Beaucoup ne le font pas et se contentent de sentir leur forme et leurs performances. Ça peut être une bonne façon de procéder, si l’HCG n’a pas été utilisée pendant la période de récupération.

Quand vous êtes confiant qu’un bon rétablissement a eu lieu, ou entre deux cures, vous pouvez commencer à utiliser de l’HCG. Je conseille de commencer avec une petite quantité comme 250 à 275 IU trois fois par semaine. Ainsi votre flacon de 5000 IU vous durera 6 semaines.

Si vous avez déjà utilisé du letrozole ou un autre inhibiteur de l’aromatase lorsque vous êtes en dehors de vos cures, et que vous avez trouvé une dose qui vous convient, pour maintenir un bon niveau d’estradiol (à peine plus que 20 pg/mL), alors, commencez avec la même dose d’inhibiteur de l’aromatase pendant l’utilisation d’HCG. Si vous n’avez pas d’information sur vos niveaux d’estradiol, n’utilisez pas encore l’inhibiteur de l’aromatase. Attendez d’avoir vos résultats sanguins pour le faire.

La période où vous utilisez de l’HCG entre vos cures, est le moment où il est important de faire une prise de sang. Je vous décourage fortement de jouer aux devinettes. Si vous vous trompez, la production de LH s’arrêtera, non seulement pendant vos cures mais aussi pendant la plupart de vos semaines de récupération. Pour l’hypothalamus et l’hypophyse, cela peut équivaloir à une utilisation de stéroïdes toutes les semaines de l’année.

Dans la plupart des cas, quand l’estradiol est maintenu à un bon niveau, une production normale de LH peut être maintenu en utilisant l’HCG à 200-275 IU trois fois par semaine. Cela permet de produire des niveaux de testostérone bien plus élevés, que lorsque l’HCG n’est pas utilisée. Le bénefice entre les cures se remarque et est sans effet secondaire.

Au bout de 2 semaines de prise d’HCG, votre LH et estradiol doivent être testés. Si l’estradiol est dehors de la fourchette de 20-25 pg/mL, l’aromatase devra être ajustée. Si le niveau d’estradiol est bon mais celui du LH est bas, la prise de’HCG doit être diminuée, par exemple à 250 IU deux fois par semaine.

Lorsque les niveaux d’estradiol et de LH sont bons, la dose d’HCG peut être augmentée. Mais il n’y a pas de raison de dépasser 1500 IU par semaine car il y a très peu de chance d’obtenir une différence de résulat. Il faudra par contre retester vos niveaux à chaque fois que vous ajustez votre dose d’HCG.

L'utilisation d'HCG entre les cures de stéroïdes

L’utilisation d’HCG entre les cures de stéroïdes

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Les cures courtes de stéroïdes à forts dosages par rapport aux cures longues avec de petits dosages

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Article source: MESO-Rx France

Question: Je suis un débutant dans l’utilisation des stéroïdes. Pour la quantité de stéroïdes que j’ai, j’ai besoin de décider si je démarre fort pendant une courte période courte ou si je choisis de les prendre pendant plus longtemps à petites doses. Quelle est la meilleure route? Est-ce que cela changera lorsque j’aurais plus d’expérience?”

Pour un débutant, le maximum de résultat sera obtenu à une prise de 600 à 800 mg de stéroïdes par semaine. Dans certains cas, cela dépend des individus, on pourrait même descendre à 500 mg par semaine.

Ce n’est pas tellement le fait de prendre plus de produit qui semble moins efficace mais par exemple 10 semaines à 800 mg par semaine donnera probablement à un débutant de meilleurs résultats que 1000 mg par semaine pendant 8 semaines.

Donc si vous avez une quantité limitée de stéroïdes anabolisants, la prise la plus efficace sera de 600 à 800 mg par semaine ce qui est une dose moyenne, pour une période ne dépassant pas 12 semaines et même de préférence ne dépassant pas 8 semaines.

Si vous avez plus de produit, il vaudrait mieux planifier plusieurs cures plutôt que de rallonger celle que vous avez prévu de faire. Par exemple, 3 cures de 8 semaines vous feront plus d’effets que 2 cures de 12 semaines.

Je n’ai pas dit que lorsque les produits ne sont pas en quantité si limitée, il faut éviter de prendre des doses à 1000 mg de stéroïdes anabolisants par semaine si on veut être efficace. Ce n’est pas ce que j’ai dit. Cette réponse était valable seulement dans le cas où la quantité de produit est restreinte.

La dose dont vous aurez besoin pour une meilleure efficacité changera au fur et à mesure que vous obtiendrez des résultats. Pour illustrer, lorsque vous atteignez une taille musculaire où par exemple 600 mg par semaine vous laisse à un plateau, il faudra alors prendre une plus forte dose pour le dépasser.

Les cures courtes de stéroïdes à forts dosages par rapport aux cures longues avec de petits dosages

Les cures courtes de stéroïdes à forts dosages par rapport aux cures longues avec de petits dosages

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La méthode la plus sûre et la moins chère pour des cures de stéroïdes

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Article source: MESO-Rx France

Question : “Je veux avoir de bons résultats de cure de stéroïdes cette année, peut-être pas comme un culturiste professionnel mais je veux le faire très sérieusement. Par contre je ne veux pas dépenser plus que ce qui est nécessaire. Quelle est la méthode la moins chère, qui ait aussi du sens en terme d’effets secondaires.”

Je pense que la solution la moins chère serait la testostérone propionate : 8 cures de 2 semaines, intercalées de 4 semaines de repos, en prenant 450 mg le premier jour et 150 mg les jours 2 à 10 (Cela comptera comme 14 jours sous stéroïdes à cause des effets qui continuent après les injections.). Pour ceux qui ne sont pas sensible aux estrogènes, la testostérone peut être utilisée seule. Par contre beaucoup devraient sentir les effets secondaires d’un excés d’estrogène.

Une autre méthode similaire en terme de coût serait d’utiliser 300 mg le premier jour et 100 mg les jours 2 à 10 mais en incluant du Dianadol à 50 mg par jour, ou bien d’utiliser la testostérone dans les mêmes proportions que précédemment mais en ajoutant le Dianatol pendant les jours 11 à 14. On aura les mêmes soucis par rapport à l’estrogène.

The principal reason for adding Dianabol, if doing so, is to get the most out of the last few days of the cycle, as the levels from injected testosterone drop. While it’s not so important to get the last bit possible out of the last few days of a longer cycle, with a 2 week cycle, it’s highly desirable to do so.
La raison principale pour rajouter le Dianatol, quand on décide de l’utiliser, est d’obtenir le plus possible des derniers jours de la cure, alors même que les niveaux d’injection de testostérone sont en baisse. Ce n’est pas très important de chercher à obtenir le plus possible des dernier jours d’une cure longue, mais dans la cas d’une cure de 2 semaines, il est important de le faire.

Sauf si vous savez déjà, de par votre expérience personnelle, que vous pouvez utiliser autant de stéroïdes aromatisables sans problème, vous préfèrerez utiliser un antiaromatase comme le letrozole. Ce sera un peu plus cher mais pas beaucoup plus. Même si le dosage varie avec l’individu, la quantité moyenne devra être de 2,5 mg le premier jour et 1 mg par jour pour les jours suivants, jusqu’au dixième jour.

Si vous aimez les cures de 2 semaines, il n’est pas absolument nécessaire d’utiliser un produit SERM comme le Clomid, pendant les deux premières semaines de récupération, mais c’est recommandé.

Si vous préferez de longues cures comme celles de 8 semaines, c’est souvent le cas, les mêmes médicaments sont en général ceux qui vous offriront le plus pour le même budget. Mais j’insite sur le fait de ne pas oublier un produit SERM.

Cela étant dit, si vous utilisez de la poudre, il y a beaucoup de choix à des prix raisonnables. Vous n’avez donc peut-être pas besoin de choisir la solution la moins chère. Mais si c’est la voie que vous choisissez, le choix de stéroïdes anabolisants peut se réduire à presque rien à part la testostérone mais avec elle vous aurez quand même de très bons résultats.

En général pourtant, c’est mieux de controler aussi l’estrogène et d’avoir un bon PCT (traitement post cure). Donc choisir d’utiliser la testostérone comme seul médicament n’est pas le meilleur des choix.

La méthode la plus sûre et la moins chère pour des cures de stéroïdes

La méthode la plus sûre et la moins chère pour des cures de stéroïdes

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Guide pour préparer vos propres injections de stéroïdes

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Article source: MESO-Rx France

Question: “Comment dois-je préparer mes injections, à partir de poudre, pour être sûr qu’elles soient bien faites?”

Vous pouvez faire de très importantes économies en préparant vos propres injections et le processus est assez simple. Les problèmes que l’on peut rencontrer sont la disponibilité et la légitimité du produit mais ce sont les mêmes problèmes que l’on rencontre lorsqu’on veut acheter des flacons ou ampoules de produits déjà préparés.

La seule chose à faire est de dissoudre la poudre dans une solution huileuse appropriée, qui généralement aide à la solubilité de la poudre. Il faut ensuite la filtrer et la mettre dans une fiole stérile. On peut aussi ajouter un agent bacteriostatique (qui arrête la mutiplication des bactéries sans les détruire).

Alors comment fait-on?

D’abord faisons les calculs nécessaires. Vous déciderez de la concentration. Je ne recommande pas d’utiliser de plus fortes concentrations que celles utilisées par l’industrie pharmaceutique. Par exemple, pour la testostérone enanthate, visez 200mg/mL, pour la testostérone cypionate 250mg/mL, pour la testostérone propionate (Masteron) 100mg/mL, pour le methenolone enanthate (Primobolan) 100mg/mL, etc…

D’autres exemples non pharmaceutiques incluraient le drostanolone enthanthate à 200mg/mL, le trenbolone acetate à 75mg/mL et le trenbolone enanthate à 200mg/mL.

Ce n’est pas que de plus fortes concentrations ne peuvent pas être utilisées mais pour le faire, il faut des quantités relativement grandes d’alcool benzylique qui va irriter les muscles. De plus fortes concentration risquent aussi de rendre les injections plus visqueuses et donc douloureuses. Mais de toutes façons, le produit ne devient pas plus puissant en étant concentré à 300mg/mL ou plus.

Disons donc que vous avez décidé d’utiliser x mg/mL et que vous avez y grammes de poudre de stéroïdes. Faire les calculs avec des lettres peut vous sembler ennuyeux mais on peut ainsi travailler avec n’importe quel exemple. Disons que vous avez décidé 200mg/mL et que vous avez 10 g de poudre. Le volume en mL de l’injection que vous préparez est 1000 fois y, divisé par x, ce qui dans ce cas, revient à dire 1000 fois 10, divisé par 200. Le résultat est 50mL.

Le volume prendra en compte la poudre, un solvant, typiquement le benzyl benzoate, l’huile et en option un agent bacteriostatique, qui sera de l’alcool benzylique si vous choisissez d’en utiliser.

Le volume pris par la poudre dissoute, varie, mais ce sera à peu près un volume en mL, de 0,9 fois y, le poids en gramme de la poudre. Donc dans notre exemple, il tiendrait à peu près 9 mL (0,9 fois 10).

La chose la plus facile à faire pour définir la quantité de solvant est simplement de prendre 20% du volume total final. Par exemple, dans le cas précédent de 50 mL de volume total, on devrait utiliser 10 mL de benzyl benzoate comme solvant. Maintenant, dans de nombreux cas, le solvant n’est pas nécessaire. Je garde ici une formule simple et générale. Dans les cas où les stéroïdes peuvent être complètement dissous sans avoir recours au benzyl benzoate, vous obtiendrez un liquide légèrement plus visqueux. C’est à vous de choisir.

Si vous n’utilisez pas d’alcool benzylique – je préfère ne pas en utiliser – après les 19 mL constitué par la poudre et le solvant de notre exemple, il nous reste 31 mL à remplir pour atteindre le volume total de 50 mL. C’est le volume d’huile. L’ethyl oleate peut être un bon choix car il produit une solution plus fluide que les autres huiles et il améliore la solubilisation. Cependant on peut utiliser d’autres huiles végétales comme de l’huile de soja ou de sésame. Si vous l’achetez au supermarché, l’huile de soja Wesson a fait ses preuves.

Si vous préférez utiliser de l’alcool benzylique comme solvant, je recommande de l’utiliser à seulement 2% du volume total et pas plus de 5%. Dans cet exemple, si nous utilisions de l’alcool benzylique, nous en utiliserions 1 mL (2% de 50 mL) et nous aurions besoin de seulement 30 mL d’huile.

Let’s also have the materials we need. We’ll need a sufficiently large vial or vials to put our product into, we’ll need a large syringe such as 30 mL or 50 mL though if you’re patient smaller syringes can be used, we’ll need a large gauge needle such as 23 gauge, and we’ll need at least one submicron syringe filter to attach to the syringe (0.45 micron or smaller.) We’ll also need another syringe and needle to measure out desired volume of solubility enhancer. Preferably we’d also have an insulin needle with the plunger removed, but if this is not available a larger gauge needle can substitute for it.

Il nous faut aussi du materiel : une ou plusieurs fioles, suffisamment grandes pour y mettre notre produit ; une grande seringue de 30 ou 50 mL. Si vous êtes patients, des seringues plus petites peuvent être utilisées. Nous aurons besoin d’une grosse aiguille (23 de jauge) et d’au moins un filtre de seringue d’un submicron qui sera attaché à la seringue (0,45 microns ou plus petit). Nous aurons aussi besoin d’une autre seringue et aiguille pour mesurer la quantité souhaitée de solvant. Il serait aussi préférable d’avoir une aiguille à insuline avec l’entonnoir enlevé, mais si vous n’en trouvez pas, une grosse aiguille à mesurer peut faire l’affaire.

Maintenant que nous avons tout ce qu’il nous faut, nous pouvons commencer.

Dans un premier cas, disons que vous n’avez pas de balance pour peser de manière précise votre poudre, mais que vous l’avez commandé en quantité précise, par exemple de 10 grammes. Si cela est nécessaire, ce n’est en général pas un problème d’assumer que les quantités sont bien celles que vous avez commandées. Si vous n’avez pas confiance dans la quantité que vous envoie votre fournisseur, vous n’aurez sans doute pas confiance non plus sur la qualité de la poudre qu’il vous a envoyé. Une fois choisi votre fournisseur, il faudra lui faire confiance. Si vous n’avez pas une bonne poudre, la quantité exacte de cette poudre ne sera pas importante. Mon plus gros souci si vous sautez l’étape de la pesée, est que vous risquez de ne pas vous apercevoir que votre fournisseur est malhonnête ou négligent, si c’était le cas.

Si vous avez une balance, utilisez aussi du papier à peser. Cela peut facilement se trouver sur Internet. Il n’est pas indispensable d’utiliser du papier à peser, d’autres choses peuvent faire l’affaire, si elles sont relativement sans bactérie ni poussière et si la poudre peut glisser facilement dessus. Mais le papier à peser est très pratique et pas cher. Si vous n’en n’avez pas, vous pouvez utiliser du papier aluminium, qui vient juste d’être déroulé. Pesez la poudre sur le côté qui était à l’interieur du rouleau. Mais par contre le papier d’aluminium n’est facile à utiliser pour le versement de la poudre.

Pour peser la poudre, choisissez un endroit sans courant d’air. Préparez la grosse seringue, un outil bien propre comme une spatule de laboratoire ou un couteau de cuisine et un chiffon imbibé d’alcool pour nettoyer. Versez tout doucement la poudre sur le papier à peser, placé sur la balance. Vous pouvez le faire soit en versant très délicatement, soit en utilisant votre spatule ou couteau pour mettre la poudre petit à petit. En général c’est mieux d’utiliser votre outil pour transférer les restes de poudre. Si vous avez trop versé, utilisez votre outil pour enlever le trop plein du papier à peser. Pensez à ne pas respirer sur la poudre pendant que vous pesez. Ce n’est pas un concours de vitesse, ne vous bousculez pas, mais ne trainez pas non plus.

Lorsque vous avez la bonne quantité de poudre sur le papier à peser, ou si vous considérez que vous avez la bonne quantité dans le sachet que vous avez acheté, vous pouvez l’ajouter dans la grosse seringue, par le fond. La seringue aura déjà le filtre attaché ainsi qu’une grosse aiguille jauge attachée au filtre. Cette aiguille aura son bouchon d’origine en place.

Maintenant, après avoir ajouté la poudre, remplissez une autre seringue de la bonne quantité de benzyl benzoate. You pouvez trouver plus facile de la verser dans le dos de la seringue plutôt que d’utiliser l’aiguille pour l’aspirer mais les deux méthodes fonctionnent. Ajoutez ensuite le benzyl benzoate dans la grosse seringue et aussi le même volume d’huile. Remettez ensuite le bouchon sur la seringue. Secouez pour mélanger tous ces ingrédients jusqu’à ce que tout soit dissout. Cela peut prendre plusieurs minutes.

Un peu ou toute la quantité restante d’huile est maintenant rajoutée dans la seringue, ce qui fait que le volume va atteindre la marque de la seringue. Par exemple, si vous utilisez une seringue de 30 mL et faîtes une préparation de 50 mL, rajoutez seulement 30 mL d’huile puis rebouchez. Mélangez ce qui est dans la seringue et mettez l’aiguille dans le flacon (cela permettra à l’air de s’échapper). Faîtes passer doucement la préparation à travers le filtre. Cela risque de prendre pas mal de temps : utilisez une bonne pression de votre pouce mais faîtes attention de ne pas déchirer le filtre.

Après avoir fait passer toute la solution, si moins d’huile a été utilisée que ce qui était prévu, c’est le moment de rajouter ce qu’il reste dans la seringue, en le faisant passer dans le filtre aussi.

Votre préparation est terminée.

La stérilisation par la chaleur n’est pas nécessaire lorsque l’on a bien suivi la procédure, mais si vous tenez à le faire quand même, pour avoir l’esprit tranquille, utilisez de l’eau chaude mais pas plus de 70º C (158º F). Il faut juste que la préparation approche de cette température, par exemple 10 minutes sont tout à fait suffisantes pour tuer les bactéries qui pourraient être présentes. Ne le passez pas au four.

Guide pour préparer vos propres injections de stéroïdes

Guide pour préparer vos propres injections de stéroïdes

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Utiliser le dosage thérapeutique de stéroïdes pour construire ses muscles

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Article source: MESO-Rx France

Question : “J’ai 23 ans et avoir un atout supplémentaire grâce aux stéroïdes anabolisants m’intéresse, mais je n’aspire pas à devenir un athlète ou un culturiste. Je veux juste être un peu plus musclé et un peu plus fort (Je soulève déjà des poids lourds et de façon constante). Je ne comprends pas pourquoi j’aurais besoin de doses comme celles des culturistes et pourquoi j’aurais besoin de bousculer mon système pendant plusieurs semaines et puis le laisser reposer pendant d’autres. Pourquoi ne pas prendre de petites doses tout le temps comme les docteurs le prescrivent pour des raisons médicales. Je pense que je serais plus confortable comme ça.”

C’est possible de le faire mais je vais vous montrer pourquoi vous ne devriez pas.

Tout d’abord, le corps a des mécanismes de réactions qui reconnaissent les niveaux d’estrogène et d’androgène. Plus ces niveaux seront hauts, plus la production des hormones naturelles diminuera. Par exemple, si vous vous injectez de la testostérone à une dose très modérée, comme 100 mg par semaine, votre production à vous, de testostérone naturelle, diminuera de moitié. Si vous vous injectez de la testostérone à 200 mg par semaine, votre production sera réduite d’un tiers de sa production normale.

Lorsque votre testostérone n’est pas très bonne, les injections sont appréciables. Mais si votre testostérone fonctionne bien, et que vous souhaitez seulement être à la pointe, en rajouter produira peu d’amélioration. La majorité de ce qui sera injectée servira seulement à remplacer la perte de la production naturelle. (La production naturelle est comparablement efficace à 200 mg injecté par semaine, même si la quantité actuelle est moindre.)

Donc d’une certaine façon, de petites quantités telles que 100 à 200 mg par semaine ont des effets d’un côté mais les enlèvent presque d’un autre. Pendant ce temps vos testicules retrécissent et votre production de LH (hormone lutéïnisante) s’arrête.

Maintenant vous êtes le cas le plus simple. On peut vous améliorer.

Si vous utilisez des stéroïdes non aromatisables, ou un anti-aromatase pour optimiser votre niveau d’estradiol, il est possible dans de nombreux ca,s de prendre 100 à 200 mg par semaine de stéroïdes injectables, quelques fois davantage, et de maintenir quand même, un taux normal de LH et votre production de testostérone. La différence sera visible petit à petit.

Malgré tout le résultat n’est pas très spectaculaire.

L’amélioration la plus importante des muscles, obtenue par l’usage de stéroïdes, a par contre pour conséquence des changements durables dans les cellules musculaires. Par exemple une augmentation de la nucléation et de la différenciation des cellules en myocytes (fibre musculaires) mûrs. Pour faire apparaitre ces changements un seuil doit être dépassé et de petites doses de stéroïdes ne produiront pas ça ou vraiment très peu.

Juste quelques cures à des doses standards pour des culturistes – je ne veux pas dire des doses de pros IFBB (international Federation of Body Builders) mais d’utilisateurs de stéroïdes accomplis – ces cures vont permettre de bons changements si accompagnées d’un entrainement approprié.

Après vous verrez si vous souhaitez les maintenir avec une approche plus douce.

Mais pour la plupart, démarrer doucement n’accomplira que bien peu.

Utiliser le dosage thérapeutique de stéroïdes pour construire ses muscles

Utiliser le dosage thérapeutique de stéroïdes pour construire ses muscles

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Utiliser des SARM pendant les cures de stéroïdes et/ou pendant le PCT

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Article source: MESO-Rx France

Question: “Comment devrais-je incorporer des SARM pendant ma cure de stéroïdes ou pendant mon temps de récupération (PCT)?”

Vous ne devriez pas le faire.

Différents auteurs scientifiques ont essayé de rendre apparent qu’au contraire des stéroïdes anabolisants, les SARM (modulateurs sélectifs des récepteurs d’androgène) auraient un effet secondaire moindre ou une augmentation de la séparation entre les effets anabolisants et androgéniques. Mais à part pour la toxicité vis à vis du foie avec un usage oral, là où la plupart des stéroïdes anabolisants oraux sont ce problème mais les SARM ne l’ont pas et il n’y pas vraiment de preuve. Il n’y a même pas un argument pour montrer qu’ils procureraient une amélioration.

A mon avis, la seule différence entre les mélanges et les stéroïdes anabolisants est une particularité structurale qui ne fait pas de différence pour l’utilisateur. Mais que le mélange ait une structure de stéroïde ou pas fait apparemment une différence pour la société.

Vous pouvez les appeller les androgènes “politiquement corrects”. On leur a enlevé le nom de stéroïdes, mot socialement inacceptable.

Et c’est tout.

Ce n’est pas une raison pour les inclure dans une cure de stéroïdes anabolisants.

Il y a encore moins de raison pour les inclure dans un PCT (traitement post cure) car ils arrêtent la production de LH.

Utiliser des SARM (modulateurs sélectifs des récepteurs d'androgène) pendant les cures de stéroïdes et/ou pendant le PCT (traitement post cure)

Utiliser des SARM (modulateurs sélectifs des récepteurs d’androgène) pendant les cures de stéroïdes et/ou pendant le PCT (traitement post cure)

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L’utilisation à long terme de Clomid ou Nolvadex pour augmenter les niveaux de testostérone

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Article source: MESO-Rx France

Question: “Mes niveaux de testostérone sont normaux dans la fourchette basse et pour moi, il y a une différence drastique de qualité de vie quand je prends de la testostérone, même en petite quantité. Plutôt que de m’injecter de la testostérone toutes les semaines pour le reste de ma vie, puis-je utiliser du Clomid ou du Nolvadex à la place? Quand j’ai utilisé du Clomid après une cure, j’ai eu de très bons résultats et me suis senti bien mieux. Mais je n’ai jamais entendu parler d’utilisation permanente.”

Cela peut se faire mais je ne le recommanderais pas.

Il y a eu une petite étude où des hommes peu fertiles ont pris du Clomid à 100 mg par jour pendant une année et ils ont eu de bons résultats et pas de problèmes. Ce n’est donc pas qu’il n’y a aucune base médicale à une utilisation possible de Clomid sur de longues périodes, mais c’est très limité.

Il y a eu de nombreuses femmes qui ont pris du Nolvadex pendant des années. Mais c’était une période où les docteurs le prescrivait comme un prophylactique pour les femmes qui étaient à risque du cancer du sein.

Pourtant on fait plus attention à son utilisation aujourd’hui, parce que le Nolvadex est un peu cancérigène, le Clomid aussi. On se pose donc maintenant la question de son effet bénéfique par rapport au risque.

Pour une utilisation standard en post cure (PCT), l’exposition est limitée, avec relativement peu de semaines au cours de l’année. Il y a donc probablement plus de risques de mourir en étant assommé par une noix de coco sur la tête que d’utiliser du Clomid ou du Nolvadex pendant vos périodes de post cure. Et le bénéfice, la récupération adéquate du HPTA (Axe hypothalamo-hypophyso-gonadique), est considérable. Je pense que dans ce cadre, l’équation risque/bénéfice est positive.

Pourtant, utiliser un de ces médicaments pendant 52 semaines par an et ce pendant des décennies provoquerait bien plus d’exposition, et aucun bénéfice ne serait ainsi obtenu qui ne pourrait l’être avec une utilisation continue de HCG et avec un contrôle de niveau d’estradiol avec un anti-aromatase, ou même un anti-aromatase seul. Je n’utiliserais pas de SERM de façon continue.

 

L'utilisation à long terme de Clomid ou Nolvadex pour augmenter les niveaux de testostérone

L’utilisation à long terme de Clomid ou Nolvadex pour augmenter les niveaux de testostérone

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La localisation des injections de stéroïdes pour augmenter la taille des muscles

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Article source: MESO-Rx France

Question: “Est-ce que faire des injections à des endroits spécifiques fonctionne? Comment fait-on?”

Surtout pour les petits muscles, il peut y avoir une augmentation substantielle de taille quand on fait des injections à des endroits spécifiques. Le résultat peut durer pendant des mois après la dernière injection.

Il ne semble pas que la raison de l’augmentation des muscles soit due à l’injection de stéroïdes. Il semble plutôt que cela provienne du volume d’injection de l’huile. À part des raisons pharmacologiques pour cela, l’évidence pratique vient du fait que les résultats dépendent clairement de la quantité d’huile injectée plutôt que de la quantité en milligramme de stéroïde injecté. Pour cette raison, on préfère les préparations à faible concentration comme 25 à 100 mg/ml. Mais il est possible d’utiliser de plus fortes concentrations.

L’injection localisée est faite en utilisant une seringue pour insuline avec une aiguille de 1.25 cm. Un ml par muscle pour chaque jour d’injection est suffisant. Certains divisent cette quantité en injections plus petites, par exemple en 2 injections de 0,5 ml par muscle, mais je ne crois pas que ce soit nécessaire.

Normalement les injections seront faites tous les deux jours ou tous les jours.

Visez la partie épaisse du muscle plutôt que les bords ou la fin. Évitez en particulier la partie à l’intérieur du bras près de la séparation entre le biceps et le triceps, ainsi que la partie près de la division entre la partie longue et latérale du triceps. Injecter dans les pectoraux est dangereux, je recommande de ne pas le faire. Pour les deltoïdes, l’endroit choisi devra aussi être la partie épaisse du muscle. En particulier pour le deltoïde antérieur, évitez absolument de piquer près des bords en bas et à l’intérieur.

On peut injecter dans les mollets mais ça a tendance à être douloureux voire très douloureux. Si vous le faites quand même, choisissez encore la partie épaisse du muscle. Évitez d’injecter près de l’arrière du genou.

Ne faites pas les injections exactement au même endroit, mais plutôt dans des zones un peu différentes à chaque fois.

Une injection localisée peut facilement procurer un cm en volume, vous trouverez peut-être ainsi que cela vaut la peine de se donner un peu de mal.

Bien que je sois convaincu que l’effet vient seulement de l’huile, cet effet est tout à fait différent avec de l’huile synthétique. Les produits synthétiques donnent un effet non naturel frappant, alors que les injections localisées à base d’huiles végétales ont un résultat qui parait complètement naturel.

Pour le moment, je recommande d’utiliser des préparations à base d’huile végétale et non à base d’éthyl d’oléate. Je sais que les premières marchent bien, mais je ne sais pas pour les deuxièmes. Il est possible que l’éthyl d’oléate puisse quitter la zone d’injection plus rapidement que l’huile végétale.

 

La localisation des injections de stéroïdes pour augmenter la taille des muscles

La localisation des injections de stéroïdes pour augmenter la taille des muscles

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Diète dite de “masse propre” versus “hyper calorique” pendant une cure de stéroïdes

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Article source: MESO-Rx France

Question: “Quels changements dois-je faire dans mon alimentation pour avoir une cure de “masse propre”? Ou bien devrais-je plutôt suivre une diète “hyper calorique” et éliminer la graisse après, par mon alimentation?”

Bien que beaucoup de calories soit indispensables pour grossir plus vite, il n’y a pas de raison pour accumuler la graisse rapidement. Il n’y a pas vraiment de différence entre manger suffisamment pour gagner 1lb de gras en une semaine, que manger pour gagner de la graisse deux fois plus vite. Mais évidemment 4 kg de gras seront plus faciles à perdre que 8 kg de gras et avec beaucoup moins de restriction.

L’augmentation du nombre de calories dont vous aurez besoin dépendra largement de la façon dont vous pouvez gagner du muscle de façon réaliste et de combien vous augmenterez votre entrainement pendant votre cure. Pour un débutant en stéroïdes, qui a le potentiel de prendre 2 kg ou plus de muscle par semaine, j’augmenterais l’apport de calorie d’un minimum de 1000 calories par jour. Pour quelqu’un de niveau plus avancé et qui ne va pas pouvoir acquérir du muscle aussi rapidement, 500 calories supplémentaires par jour semble un point de départ raisonnable. Vous pourrez ensuite faire des ajouts en fonction de vos résultats.

Cette augmentation de calories doit venir principalement de carbohydrates et de protéines mais l’apport de gras doit toujours être d’un minimum de 750 à 1000 calories par jour. Je ne crois pas qu’il soit nécessaire d’augmenter les protéines de plus de 100 g par jour dans la plupart des cas.

Un gain de gras plus rapide a du sens si vous réalisez que vous ne pouvez dépasser un certain point tout en gardant un faible taux de gras. Vous vous apercevrez peut-être qu’en gagnant 14 kilos de graisse, vous allez briser les limites de vos muscles, ce que vous n’arriviez pas à atteindre en demeurant propre, et vous pourrez garder ces gains après avoir séché. Par contre, à cause du temps que cela prend pour perdre de la graisse – du temps pendant lequel vous ne pouvez continuer à progresser – je ne recommanderais pas cette approche sauf dans les cas où votre expérience personnelle vous a montré que vous en aviez besoin. En tout cas, ce ne sera jamais le cas pour un débutant.

 

Programme alimentaire dis de “volume propre” versus “volume sale” pendant une cure de stéroïdes

Programme alimentaire dis de “volume propre” versus “volume sale” pendant une cure de stéroïdes

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L’utilisation du TB-500 pour soigner les blessures et améliorer le taux de guérison

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Article source: MESO-Rx français

Question: “Je suis intéressé par le TB-500. Plusieurs fois, j’ai utilisé la GH pour soigner des blessures et il semblait que la guérison était améliorée. Mais maintenant j’ai une tendinite chronique de l’avant-bras qui ne veut pas partir. Cela m’empèche de soulever les poids. Si la GH aide, il n’aide pas suffisamment. Mon père a lui une rigidité musculaire chronique et des douleurs dans la coiffe des rotateurs, bien qu’il fasse très bien ses exercices. Des années de kiné l’ont beaucoup aidé mais il ne s’est jamais complètement rétabli. Son IMR montre seulement une tendinite, mais son kiné dit que ses muscles ont été endommagés. Est-ce que le TB-500 peut l’aider à guérir?”

A : Dans beaucoup de cas, mais pas tous, le TB-500 a eu des résultats remarquables dans ce genre de cas. Je pense que cela vaut tout à fait la peine d’essayer.

Le TB-500 est un peptide de synthèse relié à l’hormone thymosine béta-4. Cette hormone est présente à un faible niveau dans le corps et peut avoir de profonds effets positifs dans la guérison des blessures. Des guérisons apparaissent au moins dans les muscles, les tendons, les ligaments, la peau, le cœur et les yeux. Cette production est plus importante là où les tissus ont été endommagés. Ces effets sont produits en partie parce que les myocytes et les myoblastes sont attirés là où est la blessure. Une autre partie est que la thymosine béta-4 est fortement anti-inflammatoire.

Il est juste d’appeler la thymosine béta-4 l’un des moyens naturels clé du corps pour promouvoir la guérison.

Les hormones de protéine comme la thymosine béta-4 sont de grandes molécules. Elles sont si grandes qu’elles n’entrent pas entièrement dans les récepteurs des cellules. Seulement une petite section de l’hormone entrera dans le récepteur. Différentes sections peuvent avoir des actions différentes. On a appris qu’on peut obtenir des effets bénéfiques avec de courtes chaînes de peptides qui correspondent à ces différentes sections, sans avoir besoin de la totalité de la grande protéine.

Le TB-500 correspond à une courte section de thymosine béta-4. On a découvert que cette section produit la plupart des effets de la molécule entière de thymosine béta-4, et est plus facile à fabriquer. Pour soigner les blessures, le TB-500 est peut-être aussi efficace que la thymosine béta-4. Certainement, le TB-500 a beaucoup d’antécédents pratiques, car beaucoup l’ont utilisé alors que très peu ont utilisé l’hormone thymosine béta-4 en entier.

Une utilisation normale consiste à prendre 4 à 5 mg par semaine, par exemple 2 mg deux fois par semaine et cela pendant 4 à 6 semaines. Quand une blessure est devenue chronique, on doit poursuivre avec un traitement d’entretien à moindre dose. Je n’ai pas connaissance de méthode standard mais 1 mg par semaine est raisonnable à mon avis.

Il ne pourrait pas corriger le problème structurel de la coiffe des rotateurs mais heureusement il semble que ce ne soit pas ce dont souffre votre père. Il est possible que le TB-500 réduise l’inflammation chronique et aide un retour à la normale du tissu musculaire affecté. Il est aussi possible qu’il aide votre corps à guérir de votre tendinite.

Cela ne marche pas dans tous les cas, mais comme il y a une bonne chance de succès, cela vaut la peine d’essayer.

 

L'utilisation du TB-500 pour soigner les blessures et améliorer le taux de guérison

L’utilisation du TB-500 pour soigner les blessures et améliorer le taux de guérison

Medivet TB-500

Medivet TB-500

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hGH vs. GHRP: Lequel est mieux pour l’augmentation des muscles et pour la guérison?

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Article source: MESO-Rx français

Question: “Je peux me permettre une cure modérée d’hormone de croissance humaine (hGH) ou une de peptides libérateur d’hormone de croissance ( GHRP). J’aime l’idée d’utiliser un GHRP pour stimuler ma production d’hormone de croissance plutôt que de prendre la hGH dans une injection. J’essaie de faire que mon corps continue de bien fonctionner, car récemment je me suis mis à me blesser plus souvent. Mais la hGH semble être plus réputée pour la guérison. Quel est le meilleur choix dans mon cas ? Et pour l’augmentation de muscles, aurais-je d’aussi bons résultats avec le GHRP qu’avec la hGH?”

Bill Roberts : Pour guérir d’une blessure, un GHRP pris par exemple à 150-200 mcg 3 fois par jour est un bon choix comparé à une GH prise à 2-4 IU/jour. Un GHRP est même peut-être un meilleur choix, en tout cas c’est celui que je préfère.

Le GHRP stimule la production d’hormone de croissance en travaillant comme de la ghréline, une hormone principalement produite par l’estomac. En activant le récepteur de la ghréline, la ghréline stimule la production de GH. Elle fait aussi bien d’autres choses.

Par rapport à la guérison, elle peut stimuler la distinction des cellules souches, réduire le catabolisme et c’est un anti-inflammatoire. Tout cela s’ajoute aux effets de la stimulation de la production d’hormone de croissance.

Les effets secondaires de GHRP comprennent une augmentation de l’appétit, du cortisol, de la prolactine lorsque le taux d’estradiol est élevé et de la mobilité gastrique. Tout cela vient du travail sur le récepteur de la ghréline : c’est la ghréline qui fait tout cela. Normalement rien de cela n’est un problème si la cure est bien dosée mais les effets existent.

Le GHRP-6 a les propriétés de la ghréline libératrice de GH, ainsi que ses effets bénéfiques sur la guérison et donc en fait bénéficier les muscles.

L’ipamoreline a aussi les propriétés de libération de GH de la ghréline mais n’a pas d’effet sur l’appétit, le cortisol ou la prolactine. Et il semble qu’il n’a pas vraiment d’effet sur la mobilité gastrique. Apparemment l’ipamoreline est un agoniste efficace du récepteur de ghréline pour certaines parties du corps mais pas pour d’autres. Il est possible qu’il n’ait pas le même effet que la ghréline sur la guérison, la distinction des cellules souches, les propriétés anti-cataboliques et anti-inflammatoires. Ou bien l’effet ne sera pas très grand.

GHRP-2 sera peut-être quelque part entre le GHRP-6 et l’ipamoreline en ce qui concerne les effets autres que la stimulation de l’hormone de croissance. Il a les effets de la ghréline pour augmenter le cortisol et la prolactine (quand l’estrogène est élevé) mais a moins d’effet sur l’appétit et la mobilité gastrique.

Pour obtenir une guérison, je préfère le GHRP-6, qui semble faire tout ce que fait la ghréline. Le GHRP-2 semble aussi bien fonctionner.

Pendant une cure de stéroïdes anabolisants, je pense qu’on peut comparer la petite augmentation de muscle obtenue en prenant du GHRP-6 à la petite amélioration de résultat en prenant une dose modérée de la hGH.

Bien sûr les raisons scientifiques pour lesquelles la prise de GHRP aide au rétablissement n’ont pas d’importances si cette amélioration a vraiment lieu dans la pratique. La bonne nouvelle c’est que ça aide souvent, au moins avec le GHRP-6 et le GHRP-2.

 

hGH vs. GHRP: Lequel est mieux pour l'augmentation des muscles et pour la guérison?

hGH vs. GHRP: Lequel est mieux pour l’augmentation des muscles et pour la guérison?

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Le cumul du GHRP et de la hGH pour une cure de rétablissement

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Article source: MESO-Rx français

Question: “Pour faire une cure de guérison, doit-on combiner un peptide libérateur d’hormone de croissance (GHRP) avec une hormone de croissance humaine (hGH)?”

Bill Roberts : Normalement non. L’exception étant si vous préférez de hautes doses de GH et que vous pouvez les tolérer, ce que la plupart des gens ne peuvent pas faire.

Un GHRP, par exemple le GHRP-6 pris à 150-200 mcg 3 fois par jour, donne souvent à son système autant d’hormone de croissance qu’on puisse tolérer avant que les effets secondaires apparaissent comme la neuropathie.

Le type de neuropathie dont je parle est la compression des nerfs causée par l’augmentation du cartilage aux endroits où le nerf passe dans un passage étroit. Un exemple est le syndrome du tunnel carpien. Il y a un certain nombre d’endroits où une compression de nerf peut se produire. Par exemple pour moi, à partir de seulement quatre semaines de hGH à 4 UI par jour, j’ai eu une compression des nerfs du plexus lombaire et cela a pris des mois à se rétablir. À cause de cette découverte de mes limites personnelles, je n’ai jamais utilisé depuis plus de 21 IU par semaine au total.

On ne veut pas pousser son taux d’hormone de croissance au-delà de notre tolérance personnelle pendant une période de temps prolongé.

Donc quand on augmente de façon importante sa propre production de GH avec un GHRP, on ne peut pas utiliser de la GH dans les mêmes proportions que si on n’utilisait pas de GHRP. Selon la personne, il est peut-être même possible que son utilisation soit impossible sans dépasser ses limites de tolérance.

Pour cette raison, si on s’injecte une dose significative de GH, la plupart des gens devront réduire leur prise de GHRP pour garder leur taux de GH sous leur seuil de tolérance. Vous atteindriez les mêmes taux de GH mais des taux moins élevés de GHRP.

Le GHRP en lui-même est bon pour votre guérison.

Donc il vaut mieux compter simplement sur le GHRP.

Si par contre quelqu’un est capable de rajouter un peu de GH au dosage de GHRP indiqué plus haut, il peut le faire. Dans beaucoup de cas il est possible de rajouter 1-2 IU par jour mais pas plus que ça.

Le cumul du GHRP et de la hGH pour une cure de rétablissement

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